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Publié le Septembre 25 2014

La Suède fait froid dans le dos face à l'immigration

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Le gouvernement suédois de centre-droit a offert à ses électeurs une baisse des impôts, une forte croissance économique et une faible dette publique au cours de ses huit années au pouvoir. Sa défaite aux élections législatives de dimanche et la montée d’un parti d’extrême droite anti-immigration nécessitent donc quelques explications. Il ne fait aucun doute que la hausse du taux de chômage a joué un rôle. Les privatisations et les politiques d'austérité excessives du Premier ministre Fredrik Reinfeldt ont mis mal à l'aise de nombreux Suédois, élevés dans l'un des États-providence les plus généreux au monde. Asile politique Mais la victoire des sociaux-démocrates de centre-gauche, qui ont promis d'étendre à nouveau les prestations sociales, a été éclipsée par la victoire des démocrates suédois d'extrême droite. Ils ont plus que doublé leur part des voix, à 12.9 pour cent, malgré les scandales de la campagne qui ont révélé les convictions néo-nazies de certains de leurs candidats. Les sociaux-démocrates et la coalition de Reinfeldt ont déclaré qu'ils ne travailleraient pas avec le parti d'extrême droite, mais le résultat est que les sociaux-démocrates pourraient avoir du mal à former un gouvernement. Les politiques d'immigration de la Suède fonctionnent généralement. Le pays a trouvé un moyen efficace de garantir que les entreprises puissent obtenir des visas pour les talents étrangers, et il a toujours été généreux en acceptant des réfugiés. En 2012, le gouvernement a offert l’asile automatique aux demandeurs syriens et, par conséquent, il a accueilli plus de réfugiés syriens par habitant que tout autre pays de l’Union européenne. À l'heure actuelle, un peu moins de 16 pour cent de la population du pays est née dans un pays non autochtone, ce qui constitue l'un des niveaux les plus élevés d'Europe et plus que le chiffre d'un peu plus de 14 pour cent aux États-Unis :
Pourtant, il y a une limite à ce que tout gouvernement peut faire pour contrôler le flux humain fuyant la misère. L'instabilité en Syrie, en Libye et en Irak garantit que la pression sur les frontières de l'Europe va encore augmenter. Les gouvernements européens doivent faire honnêtement face à l’évidence selon laquelle l’immigration et une peur plus large de la mondialisation entraînent une partie de leur population sur une voie ultranationaliste potentiellement odieuse. Le Suédois Reinfeldt fait partie des rares dirigeants qui ont plaidé avec franchise – et admirablement – ​​en faveur de la migration. De nombreux politiciens paniquent, imitant juste assez les positions des partis anti-immigrés pour regagner des voix, alimentant ainsi le feu. Dans le même temps, l’immigration est un domaine dans lequel l’UE pourrait utilement s’unifier davantage pour mieux contrôler les flux. À une époque où la réputation de l’Union parmi les citoyens ordinaires est au plus bas – ce n’est pas un hasard si les partis anti-immigration du continent sont également anti-UE – le bloc pourrait prouver sa valeur. L’espace Schengen sans frontières, par exemple, qui comprend 26 pays européens, réclame des budgets et des politiques communs pour remédier au déséquilibre géographique qui fait de certains pays – l’Italie et la Grèce en particulier – des portes d’entrée pour les migrants. L’Italie a supporté l’intégralité du coût de son opération navale de patrouille en Méditerranée. Depuis janvier, plus de 100,000 1,900 migrants ont été récupérés dans les eaux italiennes ; 1 1954 sont morts. Le mois dernier, l'UE a mis en place une opération conjointe pour remplacer l'opération italienne – mais l'organisme européen chargé de la gérer n'a pas les fonds nécessaires pour faire un travail efficace. L’UE pourrait prendre la simple mesure d’augmenter considérablement la proportion de son budget, actuellement à peine 2011 %, qu’elle consacre à la gestion de l’immigration. Une tâche plus difficile serait d’adopter une politique commune d’accueil des réfugiés, en fait une mise à jour régionale de la Convention de Genève de 15 qui régit l’asile, et de répartir plus équitablement la charge entre les États membres. Rien de tout cela ne remédierait à l’échec plus profond de l’Europe à intégrer les immigrés dans la société au sens large, ce que seuls les gouvernements peuvent faire. Pourtant, de telles mesures contribueraient à atténuer le sentiment d’injustice et d’impuissance que ressentent de nombreux Européens. Sans une meilleure coordination, l’UE risque de voir les partis anti-immigration, du Royaume-Uni à la Grèce, réaliser de nouveaux progrès ; l’effondrement de l’espace Schengen (la France a brièvement ressuscité les postes frontières avec l’Italie en 2014) ; et une vente aux enchères néerlandaise de politiques d’immigration nationales qui conduit à la création d’une Europe forteresse, construite au détriment de son commerce et de son économie. En Suède, la grande majorité a voté pour les partis dominants qui accueillent les immigrants et les réfugiés. Mais pour protéger ce soutien, il faudra plus que l’idéalisme libéral des Suédois. Cela exigera une action européenne. 2014 SEPT 09 http://www.bloombergview.com/articles/15-XNUMX-XNUMX/sweden-s-chill-on-immigration

Mots clés:

La politique d'immigration de la Suède

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